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Le premier recueil de nouvelles de Christophe Dugave est paru en février 2016 chez LIGNES IMAGINAIRES. Comme son nom l’indique, il regroupe 25 textes courts à dominante sombre.

Une femme esseulée chez elle qui attend le retour de son mari un soir de pluie et de brouillard, la chronologie éparpillée d’un drame familial, deux vieilles commères qui médisent sur leur voisine, l’épopée  citadine d’un homme aux intentions visiblement douteuses et le huis-clos étouffant d’une ferme australienne où mère et fille cohabitent en plein bush… Cinq nouvelles bien différentes qui ouvrent ce bal où le noir est de rigueur, où l’on valse souvent avec la faucheuse, mais où  le ton n’est pas toujours désespéré et sait se faire nostalgique, comique, tendre ou cruel. La plupart des textes présentés sont des nouvelles à chute qui, une fois leur lecture achevée, vous laissent pour le moins rêveur, décontenancé quand ce n’est pas mal à l’aise. Car le pire est toujours certain, qu’il soit annoncé crûment, suggéré ou même fantasmé.Bien qu’il s’agisse de fictions pures, la réalité n’est jamais très loin. Il arrive même qu’une nouvelle s’inscrive dans le cadre d’une actualité bien précise. 

Le format, petites nouvelles assemblées dans un format poche, permettent une lecture fractionnée en toute occasion, dès que l’on a un moment, chez soi, dans une file d’attente ou dans les transports en commun.

Gageons que "Vingt-cinq nuances de noir" éclairera les soirées et égaillera les voyages de nombreux lectrices et lecteurs amateurs de sensations fortes.

AU SOMMAIRE :

 - Tard

- Eclats de verre

- Vieille coquette

- La sortie des écoles

- Le bon vieux temps

- Plaie d’amour n’est pas mortelle

- Un café s’il vous plait !

- Fête des pères

- Back home

- Nostalgie

- Je n’ai jamais aimé "Christine"

- Silence, on tourne !

- Des vies par procuration

- Le strudel de madame Schikelgruber

- Le livre

- De marbre

- La petite bête qui fait peur à la grosse

- Belle à mourir

- C’était un petit jardin

- Vivons cachés

- Le voyage de Nounours

- Pourquoi elle ?

- Saleté de GPS !

- L’aile du papillon

- Le bout du tunnel

© Lignes Imaginaires 2016